Lubrachka Posted November 30, 2019 Share Posted November 30, 2019 Bonjouuuur ! J'ai quelques petites questions sur les RI de tata Cassol : 1. On nous dit que la PP n'est pas applicable en imagerie médicale parce que l'énergie seuil de 1,022 MeV est trop élevée pour l'imagerie. Ok, mais au niveau de la partie sur le pic de Bragg, elle nous dit qu'on peut avoir des émetteurs B+ ce qui permettrait de faire de l'imagerie en séance de proton thérapie ???? 2. Je n'ai pas très bien compris la notion d'efficacité quantique de conversion quand on parle des photomultiplicateurs...? Ensuite c'est plus une confirmation : 3. cristal = scintillateur = détecteur 4. Dans les détecteurs à SC, il y a 2 types de SC : p = trous + donc permettent de piéger les e- et n = trous - et permettent d'accepter les charges libres +, c'est bien ça ? Merci de vos réponses ! Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
SJr Posted November 30, 2019 Share Posted November 30, 2019 (edited) il y a 16 minutes, Lubrachka a dit : On nous dit que la PP n'est pas applicable en imagerie médicale parce que l'énergie seuil de 1,022 MeV est trop élevée pour l'imagerie. Ok, mais au niveau de la partie sur le pic de Bragg, elle nous dit qu'on peut avoir des émetteurs B+ ce qui permettrait de faire de l'imagerie en séance de proton thérapie ???? 511KeV le photon et il y en a 2 de 511Kev en PET scan or 511Kev le photon + 511 Kev l'autre ne font pas un photon de 1022 Kev mais deux photons de 511Kev => <1022 => pas de PP en effet, la section efficace = le mont fuji (lol) c'est l'intéraction MICRO scopique donc en fait c'est une la probabilité pour 1 photon de donner quelque chose sur un petite aire de l'ordre du fermi ; pour la MACRO scopique on raisonne avec des coef d'atténuation c'est autre chose ... ET JUSTEMENT ! on prend en compte que l'énergie du photon de varie pas dans la dérivé de l'énergie Radiante !! R=NE donc dR = NdE + EdN où dE = 0, D'où que les photons il en reste tjs en sortie... C'est justement parce qu'il ne fusionne pas, ils sont "insécable" et "pas fusionnable": d'après Max Planck (quantification de l'énergie, 1915, la fameuse constante E=h mu) Révélation Révélation (je le vois comme ça, en attendant confirmation du Dr Sheldon ) Edited November 30, 2019 by SJr edit: 1901: corps noir, 1918 théorie des quantas Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ancien du Bureau Solution Falcor Posted November 30, 2019 Ancien du Bureau Solution Share Posted November 30, 2019 Salut @Lubrachka ! Alors, 1. PP et bêta + n'ont rien à voir l'un avec l'autre !!!!!!!!!!! La PP : un photon quelconque d'énergie supérieure à 1,022 MeV arrive et interagit avec le champ Coulombien du noyau, son énergie se transforme en matière (E = m.c2) et il devient un électron et un positon. Puis, le positon interagit avec un autre électron : un électron atomique, et ils se désintègrent et deviennent de l'énergie = 2 photons de 0,511 MeV (pareil E = m.c2) La bêta + : un noyau se désintègre selon un mécanisme bêta plus, il émet un positon qui rencontre un électron atomique et les deux se désintègrent en deux photons de 0,511 MeV. Au cours d'une hadronthérapie, certains hadrons pourront faire de la fission nucléaire. Les fragments sont des émetteurs bêta +. Les photons émis peutvent têtre utilsés pour faire de la TEP. Soit deux mécanismes totalement différents (à part pour l'interaction positon <-> électron) la PP est l'interaction d'un photon avec la matière, la bêta plus est une désintégration. 2. Les photomultiplicateurs Une fois le rayonnement ionisant converti en rayonnment visible par le scintillateur, les photons visibles iront sur la photocathode, où ils feront de l'effet PHE. Les électrons ainsi créés devront être amplifiés et accélérés par 10 à 15 dynodes afin que leur énergie soit récoltée au niveau de l'anode. Ce mécanisme d'accélération et d'amplification est permi grâce à "l'efficacité quantique de conversion" des dynodes, le Dr Cassol ne précise pas comment celà marche exactement. Une fois l'énergie des électrons récolée au niveau de l'anode, un algorithme sera capable de déduire par relation de proportionnalité l'énergie initiale du RI : E (RI) proportionnelle à l'intensité du flux visible, proportionnelle à l'énerige des électrons amplifiés et accélérés par les dynodes. 3. Le détecteur à scintillation désigne l'ensemble de l'appareil : il est constitué d'un collimateur, dun cristal scintillant (un scintillateur), d'une photocathode, de 10 à 15 dynodes et enfin d'une anode. Mais il est vrai que le Dr Cassol fait parfois des raccourcis et dit "scintillateur" en désignant le détecteur en entier. Voici un petit schéma qui pourra t'aider : https://www.noelshack.com/2019-48-6-1575129557-2019-11-30-16-57-59.png 4. Oui c'est ça. Idem, petit schéma utile : https://www.noelshack.com/2019-48-6-1575129720-2019-11-30-17-01-51.png S'il reste des imcompréhensions, n'hésite pas ! Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Lubrachka Posted December 1, 2019 Author Share Posted December 1, 2019 Il y a 16 heures, DrSheldonCooper a dit : Soit deux mécanismes totalement différents (à part pour l'interaction positon <-> électron) la PP est l'interaction d'un photon avec la matière, la bêta plus est une désintégration. Oooook j'avais pas du tout compris... je vais reprendre ça merci Il y a 16 heures, DrSheldonCooper a dit : Ce mécanisme d'accélération et d'amplification est permi grâce à "l'efficacité quantique de conversion" des dynodes, le Dr Cassol ne précise pas comment celà marche exactement. D'accord bon je m'en tiens à ça alors Merci beaucoup pour vos réponses @SJr et @DrSheldonCooper et aussi pour les schémas ils sont parfaits! Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.
Note: Your post will require moderator approval before it will be visible.