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CCB 2017


malika
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  • Solution

Salut :)

 

En fait, pour pouvoir exploiter les rayons X de freinage dans une technique d'imagerie, il faudrait être capable de faire freiner les électrons dans le corps via une cible et que les photons diffusent jusqu'à un capteur éloigné.

Sachant que la probabilité d'avoir des photons d'énergie nulle est la plus probable, il ne semble pas possible statistiquement et techniquement parlant d'utiliser les rayons X de freinage en imagerie (à confirmer tout de même)

 

En espérant t'avoir quand même éclairé :)

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Pour faire une radio on utilise un générateur à rayon X comme ceux du poly, sauf que ces générateurs sont externes (on n'enfonce aucun tube de coolidge dans une poitrine lors d'une mammographie (bien heureusement pour vous :D))

Sauf que dans l'énoncé, le dit générateur de rayon X qu'est le cuivre est dans l'organisme, ce qui rend toute exploitation des rayons X impossible :)

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Bonjour je me permet de m'incruster!

Je ne comprend pas pourquoi on a des rayons X de freinage après la transformation pure du Cuivre.

J'avais compris ( sans doute mal) que pour avoir un X de freinage il fallait se trouver en condition avec un tube de coolidge, l'accélération d'électrons et tout et tout.

À aucun moment je n'ai compris qu'on pouvais avoir des Photons X de freinage "naturellement"...

Une bonne Âme pourrait m'éclairer?

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L'intitulé est très large. En fait, il faut que tu vois la question comme "Avec les transformations du cuivre, serais-je capable d'obtenir des rayons X de freinage d'un quelconque moyen ?"

 

Réponse : oui, effectivement en condition.

On ne considère que les transformations du Cu, et en théorie elles peuvent fournir des particules aptes à produire des rayons X (on ne parle nullement de l'aspect technique contrairement à l'item d'après, d'où la question de Malika)

 

En espérant t'avoir éclairé :)

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Bonjour,

juste une petite synthèse pour mettre bien au clair le concept d'imagerie grâce aux rayons X de freinage : ce type d'énergie est fait à l'aide d'un tube type Coolidge pour avoir des photon d'énergie, contrôlés, adaptés au type de tissu étudiés. Ici effectivement le cuivre-64, dans la mesure ou il émet des électrons, peut produire des RX de freinage, mais il s'agit simplement de bruit de fond, car leur énergie n'est absolument pas contrôlée et la probabilité qu'ils interagissent avec le champ du noyau est très faible. C'est pour ça que les électrons vont plutôt agir en détruisant les tissu strictement voisin (pic énergétique au début à différencier du pic de Bragg des protons pour la radiothérapie externe).

Pour résumer, dans cette sorte de désintégration  radioactive, ce que l'on contrôle et donc utilise c'est l'effet destructeur des électrons, tandis que pour le tube de Coolidge, ce que l'on contrôle et utilise, ce sont sont les photons émis. (bien penser que si l'on ne peut utiliser un phénomène qui a statistiquement très peut de chance d'arriver par rapport à un autre phénomène, on créerait plus de dégât que d'effets bénéfiques).

Voilà (l'explication de V-M Varga est suffisante c'était juste pour écrire une synthèse sur certains points en résumé).

Bonne journée  :D

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