raPASS Posted January 15, 2023 Posted January 15, 2023 Je comprends pas l'exemple donnée pour justifier l'injectivité dans cet exemple (l'exemple 21 du chapitre 3) On considère l’ensemble U = RN des suites à valeurs réelles. On note S g l’application : Sg:U→ U Ainsi : Sg((u0,u1,u2,...))=(u1,u2,u3,...). Alors :– Sg n’est pas injective : par exemple (1,0,0,0....) et (2,0,0,0,...) ont la mê me image par Sg.– Sg est surjective : soit v = (v0,v1,v2,...) une suite donnée. Alors en posant u = (0,v0,v1,v2,...) on a Sg(u)=v. Donc Sg est surjective. Quelqu'un peut m'aider svp? Quote
Ancien Responsable Matière Solution Movgde Posted January 15, 2023 Ancien Responsable Matière Solution Posted January 15, 2023 Salut @raPASS, je suis pas sûr de bien comprendre ton problème car justement ils montrent qu’elle n’est pas injective. Injective revient à dire que chaque image a au maximum un antécédent. Donc par exemple, pour l’image (0,0,0,…) elle admet plusieurs antécédents (1,0,0,…) et (2,0,0,…) mais aussi (3,0,0,…) par exemple. Une fonction injective revient à dire que Soit x,y appartenant à E, si f(x)=f(y), alors on a nécessairement x=y. Quote
raPASS Posted January 16, 2023 Author Posted January 16, 2023 ok oui pardon je voulez dire l'inverse mais ce que je comprends pas c'est l'exemple donné par rapport a la définition de la suite Quote
Ancien Responsable Matière Movgde Posted January 16, 2023 Ancien Responsable Matière Posted January 16, 2023 En gros une fois que t’appliques cette fonction à ta suite, ta suite « perd » son premier terme. Donc toutes les suites ayant juste leur u0 de différents ont la même image, donc la fonction ne peut pas être injective. Quote
raPASS Posted January 16, 2023 Author Posted January 16, 2023 ahhh ok oui c'est bon merci Movgde 1 Quote
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