Tuteur Batman_sans_Robin Posted March 15 Tuteur Posted March 15 (edited) Bien le bonjour à vous, J'ai quelques petites questions : - https://zupimages.net/viewer.php?id=25/11/g59f.jpeg -> item B : qu'est-ce qui nous indique dans l'énonce le rôle de IRES ? J'ai beau relire je comprends pas - https://zupimages.net/viewer.php?id=25/11/yxu9.jpeg -> item B et C : j'arrive pas à interpréter les résultats pour répondre - est-ce que toutes les techniques comme l'électroporation/gene gun/ chimique etc sont possibles sur les procaryotes ? Bien à vous, Batman (: Edited March 15 by Batman_sans_Robin Quote
bêta-arezkin Posted March 15 Posted March 15 Bonjour Pour le QCM2 on te demande de dire d'après l'usage qu'ils font de la séquence IRES si elle permet l'expression de deux protéines à partir d'un seul ARNm Pour le QCM5 le western du haut c'est un lysat (tout ce qui est dans la cellule) et celui du bas est une IP c'est à dire qu'on y voit que ce qui a précipité avec P53 et donc que ce qui interagit avec P53 Et normalement le gène gun n'est pas applicable sur les procaryotes. Quote
Tuteur Batman_sans_Robin Posted March 15 Author Tuteur Posted March 15 Il y a 5 heures, bêta-arezkin a dit : QCM2 on te demande de dire d'après l'usage qu'ils font de la séquence IRES si elle permet l'expression de deux protéines à partir d'un seul ARNm Justement je comprends pas quel usage ils en font Quote
Solution jlr.10 Posted March 16 Solution Posted March 16 Salut ! Alors pour l’item B de ta première question: dans l’énoncer on te dit que la séquence IRES est une séquence « d'entrée interne des ribosomes ». Ce qui signifie que les ribosomes pourrons initier la traduction de la seconde partie de l’ANRm sans passer par le début. En fait à partir du plasmide C tu espère obtenir un ARNm qui contient deux cadres de lecture : celui codant pour la chaîne légère suivit de celui codant pour la chaîne lourde sauf que si tu ne met pas la séquence IRES entre les deux cadres de lecture, les ribosomes commencerons la traduction à partir du début du cadre de lecture codant la chaîne légère, puis ils s’arrêteront au codon stop de ce même cadre de lecture. Ainsi le cadre de lecture suivant qui code la chaîne lourde ne sera jamais traduit donc on aura jamais de production de la chaîne lourde. Ainsi pour permettre la production de la chaîne légère et de la chaîne lourde distinctement mais à la suite, on met entre les deux cadres de lecture la séquences IRES. Par conséquent certain ribosomes commencerons la traduction à partir du début du cadre de lecture codant la chaîne légère et d’autre pourrons commencer au niveau de la séquence IRES (donc en plein milieu de l’ANRm) pour permettre la traduction du cadre de lecture suivant codant la chaîne lourde. Pour ta deuxième question : L’expérience faite est une immunoprécipitation de la protéine P53, sur un lysat de cellules qui ont été au préalable exposées ou pas par des UVs. Des WB anti-P53, anti-protéine A et anti-actine sont réalisés sur le lysat cellulaires : ici le but est de savoir si la protéine P53 et la protéine A sont bien présentes dans le lysat cellulaire et en quelle « proportion », mais aussi de savoir si les UVs impacte l’expression de ces deux protéines. (Le WB anti-actine est un contrôle de charge il nous permet de dire que la même quantité de protéines a été introduit dans chaque piste et que les protéines n’ont pas été dénaturée). Des WB de l’immunoprécipitation avec un anticorps anti-P53 sont réalisés : le principe de l’IP anti-P53 est d’utilisé un anticorps diriger contre la protéine P53 présente dans le lysat cellulaire (des cellules exposé ou non aux UVs). On ajoute ensuite des billes qui se fixent à l’anticorps anti-P53. On fait une centrifugation et on récupère : les billes fixée à l’anticorps anti-P53 ; ce qui a été fixé par l’anticorps anti-P53 (donc si tout va bien c’est la protéine P53 qui sera fixée sur cet anticorps) ; les protéines qui intéragissent avec la protéine P53 (en effet ces protéines seront accrocher a P53 qui sera elle même fixé par l’anticorps anti-P53). Puis on réalise un WB anti-P53 : ce qui nous permet de confirmer que l’IP c’est bien passé et donc qu’on a bien récupérer la protéine P53. Et un WB anti-protéine A pour savoir si cette protéine interagit ou pas avec la protéine P53. Pour les résultats : Colonne 1 : en absence d’irradiation UVs ( - ): WB « lysat cellulaire » : les deux protéines P53 et A sont détectées. Ces deux protéines sont présentent dans le lysat cellulaires en l’absence d’irradiation UVs. Ces deux protéines sont bien exprimées par les cellules en l’absence d’irradiation UVs. WB « IP : p53 » : la protéine P53 et la protéine A sont détectées. Cela signifie que en absence d’irradiations UVs, la protéine A intéragit bien avec la protéine P53. Colonne 2 : en présence d’irradiations UVs UVs (+) : WB « lysat cellulaire » : les deux protéines P53 et A sont détectées. Ce qui signifie que l’irradiation UV n’impacte pas l’expression de ces deux protéines par les cellules. Cependant on remarque que ces deux protéines sont présentent en quantité plus importante en présence d’irradiation UVs, que dans la condition en absences d’irradiation UVs (nous pouvons dire cela car nous remarquons une bande plus épaisse pour les résultats anti-p53 et anti-protéine A alors que les bande de l’actine = le contrôle de charge sont identique dans les deux conditions d’irradiations). Cela signifie donc que les cellules exprimes d’avantage les protéines P53 et A lorsqu’elles sont exposées aux irradiations UVs. La réponse B est donc fausse. WB « IP : p53 » : seule la protéine P53 est détectée (ce qui est normale puisque l’on fait une IP anti-P53 donc on a bien réussit l’IP puisqu’on récupère P53) mais on ne détecte pas la protéine A. Ainsi cela signifie que les irradiations UVs empêchent l'interaction de la protéine A avec la protéine P53.(puisqu’en absence d’exposition aux UV on retrouve une iteraction entre la protéine A et la protéine P53. Alors que l’on retrouve pas cette intéraction lorsqu’il y a une exposition aux UV). La réponse C est donc fausse. Pour répondre à ta dernière question : Oui tous ces moyens peuvent-être utilisés pour intégré de l’ADN dans une cellule procaryote. (Du moins la prof n’a pas l’aire de faire de distinction de ces techniques entre procaryote et eucaryotes à moins qu’elle l’ai mentionné en cours). J’espère que c’est plus claire ! Bon courage ! dzinthesky and Batman_sans_Robin 1 1 Quote
Tuteur Batman_sans_Robin Posted March 16 Author Tuteur Posted March 16 @jlr.10 merci beaucoup !!!! J'ai tout compris bêta-arezkin 1 Quote
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.
Note: Your post will require moderator approval before it will be visible.